










Je m'appelle Esther Morice, j'ai 24 ans et je poursuis actuellement un bachelor de design graphique spécialisé dans le design d'auteur.
J’aime le maximalisme graphique, j’aime intégrer les médiums traditionnels à mon travail. Pour créer je me nourris de ce que je vois dehors, dans la rue (une conversation, une scène, les affichages etc). La musique que j’écoute a aussi une grande influence sur mon processus créatif et contribue grandement à façonner mon univers visuel (c'est également le cas des livres que je lis).
Je peins également des toiles. J'y peins des formes organiques parce que j’aime leur irrégularité. Elles ne suivent aucune règle, ne se laissent pas contenir. Elles évoluent librement dans l’espace de manière imprévisibles et fluides. Cette absence de contraintes offre un espace où je peux peindre sans censure et sans chercher la justesse. C’est aussi l’occasion pour moi de m’affranchir de l’hyperréalisme.



Je m'appelle Esther Morice, j'ai 24 ans et je poursuis actuellement un bachelor de design graphique spécialisé dans le design d'auteur.
J’aime le maximalisme graphique, j’aime intégrer les médiums traditionnels à mon travail. Pour créer je me nourris de ce que je vois dehors, dans la rue (une conversation, une scène, les affichages etc). La musique que j’écoute a aussi une grande influence sur mon processus créatif et contribue grandement à façonner mon univers visuel (c'est également le cas des livres que je lis).
Je peins également des toiles. J'y peins des formes organiques parce que j’aime leur irrégularité. Elles ne suivent aucune règle, ne se laissent pas contenir. Elles évoluent librement dans l’espace de manière imprévisibles et fluides. Cette absence de contraintes offre un espace où je peux peindre sans censure et sans chercher la justesse. C’est aussi l’occasion pour moi de m’affranchir de l’hyperréalisme.






La cagoule symbolise l’anonymat et le refus d’être facilement identifiable. Aujourd’hui, j’ai cette impression que l’image d’un artiste est devenue aussi importante que son travail. L’art finit par passer au second plan, derrière la mise en scène d’une « vie d’artiste »
J’ai eu envie de revenir à l’essentiel : que mon travail parle avant tout. Montrer le processus de création dans sa forme la plus brute, sans chercher à embellir ce qui l’entoure. La cagoule, en cachant l’individu, remet l’action et la création au centre.


Azul est le nom sous lequel je travaille ; il porte une symbolique forte.




Azul a vu le jour en avril 2022 au retour d’un énième voyage en Espagne et à une période charnière de ma vie.
Azul c’est pour la mer, ses sonorités et son odeur. C’est pour la couleur et tout ce qu’elle évoque. C’est pour ces bouts de terre que je porte en moi depuis petite. Azul c’est pour le calme qu’il m’inspire. C’est pour une période de vie où créer devient essentiel, où l’art s’impose comme fil rouge.





La cagoule symbolise l’anonymat et le refus d’être facilement identifiable. Aujourd’hui, j’ai cette impression que l’image d’un artiste est devenue aussi importante que son travail. L’art finit par passer au second plan, derrière la mise en scène d’une « vie d’artiste »
J’ai eu envie de revenir à l’essentiel : que mon travail parle avant tout. Montrer le processus de création dans sa forme la plus brute, sans chercher à embellir ce qui l’entoure. La cagoule, en cachant l’individu, remet l’action et la création au centre.


Azul est le nom sous lequel je travaille ; il porte une symbolique forte.




Azul a vu le jour en avril 2022 au retour d’un énième voyage en Espagne et à une période charnière de ma vie.
Azul c’est pour la mer, ses sonorités et son odeur. C’est pour la couleur et tout ce qu’elle évoque. C’est pour ces bouts de terre que je porte en moi depuis petite.
Azul c’est pour le calme qu’il m’inspire. C’est pour une période de vie où créer devient essentiel, où l’art s’impose comme fil rouge.

